Critique : Durarara

Ikebukuro, Masaomi Kida invite son ami d’enfance, Mikado Ryugamine, à le rejoindre dans ce quartier animé de Tokyo. Dès son arrivée Masaomi le met en garde contre certaines personnes à ne pas fréquenter dans ce vaste endroit qu’est ikebukuro : Isaya, un informateur en tout genre, Shizuo, la brute du quartier qui n’a qu’un but tuer isaya, Simon, un homme qui vend des sushi russe, et la fameuse motarde noire qui parcourt les rues de Ikebukuro la nuit. Il l’informe aussi sur les gangs de ce quartier, les carrés bleu, qui ont disparu il y a peu de temps, les écharpes jaunes qui sont présentent mais sans grande influence, mais aussi un nouveau groupe qui fait pas mal parler de lui depuis quelques temps : les dollars. Qui n’ont quant à eux aucune couleur.

Qui sont les dollars ? Qui est cette fameuse motarde noire ? Qui sont ces personnes qu’il ne faut pas fréquenter ? Et que nous cache le quartier de ikebukuro ? Vous le découvrirez en regardant DURARARA !!

Cette série à un charme fou, dès que l’on regarde les premiers épisodes on se demande dans quoi nous embarquons. Beaucoup de mystères entourent nos jeunes protagonistes, on se demande si l’auteur va bien répondre à chacun de ses mystères, et je dois dire qu’il le fait parfaitement. La série montre bien le coté vivant du japon de nuit comme de jour. Elle nous montre aussi les mystères que l’on peut y trouver.
 

Le chara design est plutôt surprenant au début mais il reste bien agréable, les personnages sont tous attachants et ont tous un caractère très différent les uns des autres. Les mystères qu’ils y a autour d’eux restent parfois un peu long à découvrir, mais cela fait parti du charme de cette série.

L’histoire quant à elle est pleine de mystères, de rebondissements, d’humour et de sentiments tous aussi fort.  Les musiques de cette série sont vraiment très bien choisie et très bien adaptées au scénario, le thème principal fait au piano est vraiment magnifique.
 

Que dire de plus que ce cette série si ce n’est que c’est l’une des meilleurs que j’ai vu cette année. Si vous avez l’argent, procurez la vous de suite, car c’est une œuvre à ne pas manquer ! La phrase qui résume cette série n’est autre que « Quand l’incroyable devient le quotidien ! » (phrase reprise derrière le boitier de DVD), et elle résume très bien la série !