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Critique Jeux Vidéo

Notre critique de Labyrinth of Galleria: The Moon Society

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Éditeur :
NIS America
Développeur : Nippon Ichi Software
Genres : Jeu vidéo de rôle, Jeu d’aventure, Strategy
Version testée : Playstation 4
Autre supports : Nintendo Switch, PlayStation 5, PlayStation Vita, Microsoft Windows
Langue : Textes en anglais
Classification : + 18 ans
Sortie en France : 17 novembre 2022
Taille d’origine : 3,8 Go
Prix moyen : 49,99€

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Personne n’arrête plus dans sa lancée le développeur Nippon Ichi Sotware, qui continue à enchaîner les épisodes de chacune de ses séries. Aujourd’hui c’est le retour de la saga des Labyrinth qui est à l’honneur, avec Labyrinth of Galleria: The Moon Society. Après un épisode très agréable, ce nouveau titre sera-t-il un renouveau pour la licence ? Nippon Ichi nous habituant malheureusement très souvent à peu de nouveauté pour leurs suites…

Eureka ! Tiens, une bonniche… !?

Pensant répondre à une offre d’emploi pour le grand nettoyage de printemps d’un manoir, Eureka de Soleil, notre héroïne, ne sera pas au bout de ses surprises. Elle sera reçue par une vieille sorcière, Mme Martha… Elle apprendra très rapidement de sa bouche que l’offre pour laquelle elle a postulé est en fait erronée, et qu’il est surtout question d’aller fouiller un vieux labyrinthe dans lequel quiconque ose y poser les pieds, disparait sans laisser de traces.

Il n’en faudra pas plus à Eureka, notre férue de chasse aux trésors, pour foncer tête baissée dans cette mission aussi risquée qu’excitante ! Martha expliquera à notre jeune amie que pour rejoindre ce labyrinthe, il lui faudra construire ses propres poupées qui parcourront le lieu à sa place, car l’endroit est rempli d’un miasme qu’elles seules supportent… l’exploration peut donc commencer.

Un air de déjà-vu…

Pour ceux ayant joué au premier épisode, vous ne serez pas dépaysés. Ici, rien de nouveau sous le soleil, vous aurez la possibilité de créer plusieurs pantins différents pour explorer les souterrains : chevalier, guerrier, magicien, danseuse etc… Vous pourrez également choisir leur sexe, changer leurs couleurs, de quoi varier les styles. Pensez à faire un groupe équilibré car le titre risque clairement de vous pénaliser si vous n’y prenez pas garde. Le tank sera de mise pour protéger les unités les plus fragiles, ou encore un bon soigneur pour servir de soutien.

Vous voici parés pour faire vos premiers pas dans ce labyrinthe, et encore une fois aucune nouveauté réellement apparente… ah si, vous remarquerez une chose qui frappe à l’œil de suite, le tout est en anglais. Malheureusement le premier épisode n’ayant pas eu le succès escompté, cette suite n’est pas traduite, au grand dam de beaucoup de personnes qui avaient été heureuses de mettre les mains sur le premier titre de la série en français. Pour le reste, l’exploration des donjons se fait en vue intérieure, vous vous engouffrez dans les lieux avec pour seul repère une carte qui se dévoile à mesure que vous progressez.

Faites bien attention car des monstres s’y cachent et vous ne pourrez pas les voir tant que vous n’aurez pas débloqué des pétitions occultes grâce au mana récolté sur les murs. Ces pétitions faciliteront votre exploration puisque vous verrez grâce à elles vos ennemis apparaître à l’écran (celles-ci ne se débloquent qu’en ressortant et en retournant à votre base), vous pourrez aussi casser des murs, augmenter ou encore baisser la force des monstres pour remporter plus de butins.

Le pouvoir de l’amitié… ou des pantins…

Lors de vos pérégrinations, vos pantins reviendront souvent amochés ou même cassés (perte de bras ou jambe). Quand vous ne pouvez plus faire un pas ou que votre groupe est épuisé, revenez dans votre chambre. Certes vous perdrez des butins, mais il vaut mieux faire cela que mourir et tout perdre, non ? Il sera possible de réparer vos poupées à l’aide des matériaux récupérés ici et là.

Si vous pensez que certaines d’entre elles sont devenues trop faibles ou dépassées et que vous souhaitez récupérer leurs pièces, vous pourrez les détruire. Attention car ce sera définitif, aucun retour en arrière ne sera possible !

De l’exploration et encore de l’exploration !

La série des Labyrinth sont des titres agréables du moment que vous acceptiez le concept plutôt limité de la série. Le premier ne renouvelait pas le genre du Dungeon Crawler, et celui-ci encore moins vu qu’il ne fait que copier-coller son aîné en n’ajoutant rien de plus qui lui donnerait de la plus-value. Ajoutez à cela le fait qu’il ait perdu sa traduction en cours de route, et vous avez au final un épisode moins abordable que le premier… Fun dans son ensemble, bercé de musiques qui lèvent le niveau pourtant très haut (c’est d’ailleurs le point le plus positif du jeu), Labyrinth of Galleria se parcourt sans prise de tête, en gardant en mémoire qu’on est plus ici pour tabasser du monstre qu’aller chercher à vivre une fable épique !

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