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Critique

Notre critique de Valkyrie Drive Bhikkhuni

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Éditeur : PQube
Développeur : Marvelous
Genre: Musô
Version Éditeur : PlayStation 4
Autre Supports: PlayStation Vita, Steam
Langue : Voix japonaises, textes anglais
Classification : + 12 ans
Sortie en France: 11 octobre 2016
Taille d’origine: 3,18 Go
Prix Moyen : 39,99€

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Comme un certain Senran Kagura, licence qui s’est faite un nom depuis déjà quelques années dans le paysage vidéoludique, Valkyrie Drive Bhikkhuni est un mélange de deux choses qui sont de véritables institutions au Japon : le musou (Dynasty Warrior, Sengoku Basara) et les filles à la poitrine généreuse. Voyons si cette exclusivité Vita pleine de bonnes intentions mérite de gonfler votre ludothèque.

Rinka et Ranka sont deux sœurs qui ont contracté un virus réputé incurable. Elles sont alors envoyées par leurs parents sur une île où des recherches sont menées pour guérir cette maladie. Un bien étrange mal dont les premiers symptômes sont de transformer les jeunes filles en véritables machines à tuer appelées Valkyries…

Une île paradisiaque

De prime abord, on est frappé par les graphismes du titre. Les personnages principaux sont superbement modélisés et les effets visuels sont plutôt réussis. Les décors sont un peu vides et ne proposent pas beaucoup de variété, mais rien d’inhabituel dans un jeu de ce genre. La bande son est honnête et les bruitages en accord avec l’ambiance générale.

Misant beaucoup sur son fan-service, inutile de dire que les donzelles que vous allez jouer sont loin d’être vilaines. Plantureuses et plus moins charismatiques (le chara-design de celle qui s’appelle Viola est renversant), elles ont tout pour plaire. Et en plus, elles savent se battre.

 

 

Lames, pistolets et boobies
Au niveau du gameplay, tout repose sur le V-Virus que contractent les filles. Au début d’une joute, vous aurez le choix entre une Liberator, le personnage que vous dirigerez, et une Extar, qui sera une sorte de soutien. Dans le mode histoire, la première fois que vous ferez un niveau vos protagonistes vont seront commis d’office. Ce ne sera qu’à partir de votre second passage que vous aurez le choix de votre duo de Valkyries. Lorsque vous aurez fait suffisamment de combos pour remplir la jauge concernée, vous aurez la possibilité de faire fusionner votre Extar avec votre arme la rendant par la même occasion plus puissante. Lorsque vous finissez un chapitre, vous pouvez répartir les points d’expérience récoltés entre la Liberator et l’Extar. Plus vous augmenterez le niveau du soutien, plus puissante sera la fusion. Fan-service oblige, en plus de vous faire frapper plus fort, chaque level de cette « transformation » dévêtira de plus en plus la principale concernée. Comme dans l’animé Ikki Tousen, prendre des coups et en donner aura tendance à déchirer les vêtements des combattantes.

Au delà de ça, console en main, les combats sont agréables et dynamiques. La seule variation entre la jouabilité des personnages, c’est la range qu’ils auront en fonction de l’arme qu’ils utilisent. En dehors de ça, le gameplay ne sera pas très nuancé d’un protagoniste à l’autre. Un autre point faible, l’absence de difficulté. Les combats deviennent vites longs et répétitifs la faute à des ennemis qui sont, pour la plupart, de simples punching-balls.

Vous avez d’autres modes de jeu comme les classiques Survival ou Challenge. Il y a également un mode Online que nous n’avons pas pu tester.

Pavé de bonnes intentions

Le scénario sympathique sans être génial tient quelque temps en haleine. Malheureusement, l’action est trop souvent entrecoupée de dialogues insipides ou profondément débiles qui ralentissement inutilement la narration. Si au début on trouve ça mignon et frais, au bout d’une dizaine d’heures de jeu, la pilule commence à vraiment avoir du mal à passer. Jouer à la poupée avec vos Valkyries est également sympathique, mais on finit également par s’en lasser à cause d’un manque de variété dans les activités qui vous sont proposées.

Trailer

Roxassanctuary est un passionné de jeux vidéo, bande dessinées, musique et littérature. Tombé dans le monde des plaisirs numériques à l'âge de 4 ans 1/2 alors que son grand frère avait des difficultés à battre la Chauve-Souris Zapf dans Super Castlevania 4, il n'a jamais vraiment quitté le milieu depuis.

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