Notre critique du tome 1 de Fairy Tail – City Hero

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« La nouvelle recrue Lucy est affectée au sein de la team Fairy Tail, unité spéciale de la police magique de Magnoria. Avec les membres de ce groupe, au premier rang desquels se trouve Natsu toujours prêt à foncer sans réfléchir, elle va devoir protéger la ville de Fiore des malfaiteurs tels que des gangs de bikers, un stalker, des braqueurs de banque ou des voleurs tous plus dangereux les uns que les autres ! Retrouvez vos héros favoris de Fairy Tail dans une nouvelle aventure explosive ! »

Et si au lieu d’être des mages, les membres de Fairy Tail étaient des agents de police? C’est ce qui nous est proposé dans ce 1^er tome de Fairy Tail – City Hero.

Ce spin-off retrace les principaux affrontements de l’œuvre originale mais cette fois, bien qu’ils aient conservé leur pouvoirs magique, les héros font partie des forces de l’ordre. Nous rencontrons ainsi les ennemis de l’histoire principale à tour de rôle avec des méfaits un tout petit peu différent comme Bora qui au lieu d’hypnotiser des jeunes filles afin de les enlever, hypnotise cette fois des Exceeds.

L’histoire nous est présentée dans un autre univers mais dans le fond, il n’y a rien de nouveau. On a l’impression d’avoir un résumé accéléré de Fairy Tail avec juste comme différence la fonction de policier des héros. Est-ce que la suite déviera sur une œuvre plus originale? Si ce n’est pas le cas on peut vite perdre de l’intérêt pour City Hero qui ne serait donc qu’un copié collé accéléré de l’œuvre principale.

Tout comme dans Fairy Tail, ce spin-off rassemble les deux caractéristiques que l’on verra dans toute l’œuvre originale: le fan-service et l’humour.

Tout d’abord l’humour. Un incontournable de la série avec des personnages haut en couleur qui se retrouvent toujours dans des situations les plus improbables les unes que les autres. Leur caractère impulsif nous offre toujours de bons moments de fous rires.

Ensuite le fan-service. Lui aussi au centre de l’histoire, est bien présent dans ce spin-off. Nous avons notamment une scène de douche qui ne cache que le strict minimum sans oublier Lucy qui semble définitivement avoir beaucoup de mal à rester habillée.

Les personnages sont bien travaillés avec des visages très expressifs. Leurs émotions parfois exagérées viennent amplifier le côté humoristique. Les arrière-plans sont également détaillés avec des lignes de vitesse et des onomatopées qui viennent compléter la scène.