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Critique

Notre critique du tome 2 de Divines – Eniale&Dewiela

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Dessinateur : Shirahama Kamome
Scénariste : Shirahama Kamome
Éditeur : Pika Édition
Type : Seinen
Genre : Aventure, Fantastique
Public : + 14 ans
Contenu : 192 pages
Sortie : 21 août 2019
Prix : 7,50 €
Statut de la série : Terminée en 3 tomes

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Résumé

Eniale et Dewiela parcourent le monde à la recherche d’âmes à emprisonner ou à sauver, en fonction de l’ange ou de la démone. On les retrouve au Japon, à Londres ou encore à la Côte d’Azur. Et bien sûr, elles continuent de se crêper le chignon et de provoquer des catastrophes… le tout avec charme et humour!

Notre critique

Dans ce deuxième tome, on rencontre quelques divinités japonaises, bien décidées à ne pas laisser nos deux héroïnes mettre la main sur la plus petite âme. A Londres, le séduisant père Burrought, ou plutôt son âme, est l’enjeu entre les deux demoiselles. Dans le Sud de la France, c’est une vieille dame qui vit ses derniers instants, avec son terrible chat si attachant malgré un caractère pas facile, qui reçoit la visite de nos deux jeunes femmes. Et on évitera d’aborder le chaos provoqué par la perte d’une boucle d’oreille de Dewiela par Eniale et surtout le randam provoqué pour la retrouver.

Ce volume est dans la même veine que le précédent : de l’humour, deux héroïnes magnifiques, charismatiques, parfois maladroites. Mais tellement attachantes. Le scénario ne s’attarde pas inutilement, il avance bien et il y a pas mal de rebondissement. On ne s’ennuie pas à la lecture de cette série. Le travail de la mangaka est de très bonne qualité, avec un dessin bien à elle : un trait fin, rond et surtout, un maximum de détails, aussi bien dans les tenues de nos héroïnes, qui sont très belles, que dans les décors. C’est au tour de Dewiela d’être mis en avant sur la jaquette : à la main, une arme de paintball…dont Eniale est la victime. Encore une fois, on retrouve sur la jaquette tout ce qui fait la série : une démone, un ange et beaucoup d’humour.

De la génération Club Dorothee, élevée avec Saint Seya, Cobra et City Hunter, Saya, qui a un gros faible pour les shojo et les josei, adore faire de nouvelles découvertes. Le manga est une passion qu'elle n'hésite pas à transmettre aux générations futures.

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