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Critique

Notre critique du tome 2 de Sidooh

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Dessinateur : Tsutomu Takahashi
Scénariste : Tsutomu Takahashi
Éditeur : Panini
Collection : Manga
Genre : Historique
Public : + 18 ans
Contenu : 218 pages
Sortie : 27 janvier 2021
Prix : 7,99 euros
Statut  de la série: Terminée en 25 volumes

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Résumé

“Shotaro apprend qu’il va être sacrifié au cours d’un combat truqué, organisé par les “cœurs purs” dans le cadre d’un spectacle donné devant les dignitaire d’Edo. Sa seule chance de s’en sortir est de se battre. Mais, en deux nuits, comment le jeune garçon pourrait-il apprendre à manier suffisamment bien le katana pour rivaliser avec un adversaire surentraîné?”

Notre critique

La plus grande partie du volume prend le temps de montrer le lieu particulier dans lequel les jeunes garçons ont atterris ainsi que la préparation d’une festivité annuelle au cours de laquelle un combat à mort est organisé pour montrer la supériorité des adeptes du ‘cœur pur’ par rapport à ‘ceux d’en-bas’.

Les dernières pages montrent le début du combat proprement dit et met en avant que le combat est bel et bien truqué et que Shotaro est du mauvais côté de la lame.

Le début du tome pose le décor. Les personnages ont atterri dans une secte, la maison des cœurs purs, dirigée d’une main de fer par le Maître Rugi. Pour le moment, on sait peu de choses sur cet étrange personnage mais ce qui est sûr, c’est qu’il profite largement du chaos ambiant. De plus, il semblerait qu’il n’hésite pas à mettre à mort ses adeptes pour transformer leurs cadavres en ‘poudre’ dont le lecteur ne sait rien pour le moment.

Dans sa cellule, Shotaro, après avoir compris qu’il allait servir de sacrifice, reçoit la visite de Kiyozo, le bandit qui les a amené à la résidence. Ce dernier semble faire preuve de repentir. Pour ce faire, il apporte au jeune garçon un sabre d’entraînement en bois et lui apprends comment le tenir et le mouvement de base. Shotaro mettra les deux jours suivants à profit pour s’entraîner tout en sachant que son adversaire sera sur-entraîné bien qu’il soit du même âge que lui.

Gentaro n’apparaît que dans la deuxième partie du volume, lors des préparatifs des festivités annuelles. C’est à ce moment qu’il apprend son rôle ainsi que celui des femmes dont il partage la cellule : ils doivent s’occuper du ramassage et du nettoyage des cadavres.

Cette préparation prend presque tout le volume mais elle est intéressante car vue au travers de plusieurs personnages. C’est également une manière pour l’auteur de montrer l’importance de l’événement et de montrer que toutes les personnes présentes dans la maison sont impliquées d’une manière ou d’une autre. Cela permet au lecteur d’en apprendre un peu plus sur cette secte étrange.

La tension va crescendo tout au long du volume pour atteindre son sommet quand Shotaro monte sur l’aire de combat en compagnie de son adversaire. Même s’il sait que le combat est truqué, il a l’intention de tout donner pour s’en sortir. Sa détermination est impressionnante au vu de son manque de pratique. Il est également très stressé et cela se ressent aussi au travers de la manière dont le récit est construit.

Ce deuxième volume se fini pendant le combat entre Shotaro et le champion de la maison des cœurs purs. Bien qu’il soit légèrement blessé, la détermination de Shotaro ne faiblit pas. Réussira-t-il à s’en sortir ?

Notre critique du tome 2 de Sidooh
Conclusion
« Pour un samouraï, la défaite signifie la mort. »-Kiyozo
Scénario
85
Dessin
80
Edition
80
Originalité
85
Mise en page
90
Intérêt sur la durée
90
Note des lecteurs0 Note
0
On a aimé
La détermination de Shotaro
La tension du récit
On a moins aimé
Néant
85

Geekette assumée et grande fan de manga depuis Dragon Ball. J'ai une fâcheuse manie de lire tout ce qui me tombe sous la main, ce qui permet de faire les meilleures découvertes.

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