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Critique

Notre critique du tome 3 de Jusqu’à ce que nos os pourrissent

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Lisez notre avis concernant le tome 3 de Jusqu'à ce que nos os pourrissent sur Nipponzilla, le meilleur site d'actualité manga, anime, jeux vidéo et cinéma

Dessinateur : Yae Utsumi
Scénariste : Yae Utsumi
Éditeur : Pika Édition
Collection : Seinen
Genre : Thriller
Public : + 15 ans
Contenu : 192 pages
Sortie : 5 septembre 2018
Prix : 7,50€
Statut de la série : Terminée en 7 tomes

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Résumé

« Chaque été, cinq amis d’enfance se réunissent devant la tombe d’un cadavre qu’ils ont enterré au fond d’une grotte. Ils se remémorent ainsi leur crime et renouvellent leur serment d’amitié. Mais cette fois-ci, leur rituel morbide ne se passe pas comme prévu : le corps a disparu… Pire : un maître-chanteur menace de révéler leur secret ! Peur et suspicion s’immiscent alors dans le groupe d’amis… »

Notre critique

Nous avons laissé nos héros à la fin du tome 2 dans un état de choc terrible. Ils sont traumatisés, tétanisés par leur geste. Et contre toute attente, ce n’est pas Shin qui prend les commandes, mais Ryû… pour 15 pages. Une fois le choc passé, Shin semble reprendre sa place de leader, et Ryû sa place de seconde zone.

Mais on n’a pas le temps de se relâcher que le lieutenant Fujii a déjà une piste… 5 adolescents, dont la petite Haruka, sœur de sa partenaire sur l’enquête, ont délogés sans donner signe de vie. Comment expliquer la disparition d’Akira de la façon la plus crédible possible ? Maintenant que l’enquête avance, que le premier cadavre a été identifié (un SDF) et qu’Akira est décédé, la tension de ce récit monte encore d’un cran. Et ce n’est pas l’absence du maître-chanteur dans ce tome qui nous le fait oublier : il semble planer autour de nos héros tout au long de l’histoire.

Quant aux scènes de flashbacks qui alimentent cet opus, elles nous permettent de mieux comprendre la psychologie des protagonistes, de les voir dans leur milieu familial, et de comprendre un peu leurs motivations. Ou plutôt, pourquoi ils ne veulent/peuvent pas se livrer à la police.

De la génération Club Dorothee, élevée avec Saint Seya, Cobra et City Hunter, Saya, qui a un gros faible pour les shojo et les josei, adore faire de nouvelles découvertes. Le manga est une passion qu'elle n'hésite pas à transmettre aux générations futures.

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