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Critique

Notre critique du tome 3 de Nyankees

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Dessinateur : Okada Atsushi
Scénariste : Okada Atsushi
Éditeur : Doki Soki
Collection : Shonen
Genre : Comédie, Action
Public : + 12 ans 
Contenu : 200 pages
Sortie :  9 septembre 2020
Prix : 7,50€
Statut de la série : Terminée en 6 volumes

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Résumé

Ryûsei a décidé de s’installer quelques temps dans le quartier de Nekonaki. Mais trois matous très louches sont apparus et sèment le trouble parmi les chats du quartier. Il y a un Bengal, un Sphynx et un Angora au pelage fumeux. C’est le moment que choisi Raiga, le frère de Taiga, pour revenir dans le quartier alors qu’il est banni de celui-ci.

Notre critique

On replonge avec plaisir dans l’univers des chats des rues du quartier de Nekonaki où les félins sont rois. Trois matous s’en prennent aux chats du quartier pour une raison encore inconnue, mais tous les félins sont sur le pied de guerre, entre patrouilles et protection des chatons et des femelles. Ces trois loubards ne semblent pas travailler ensembles, ils se dressent toutes griffes dehors dans des lieux différents, face à des adversaires différents.

Dans ce tome, on découvre ces trois chats qui attaquent la bande de Nekonaki : le Bengal veut affronter le plus fort du groupe, le Sphynx disparait en ayant prononcé qu’un seul mot et l’Angora fait planer ses adversaires grâce son pelage. On fait la connaissance des quatres princesses célestes du quartier de Nekonaki, dont la beauté a dépassé les frontières. Ces femelles, accompagnées de leurs chatons, espèrent être à l’abri dans le parc. Enfin, Raiga, le petit frère de Taiga, revient à Nekonaki, dont il a été banni. Ce dernier rêve d’agrandir le territoire grâce à sa force, tout en laissant la place de chef à Taiga. Mais ce dernier ne le voit pas ainsi et c’est sur Ryûsei que Raiga compte passer sa colère.

Le scénario dynamique mêle magnifiquement l’univers des chats des rues à celui des gangs humains. Les chats prennent des poses d’êtres humains et vice-versa. Les caractéristiques de chaque félin ressortent bien sur l’humain qu’il représente et on ne les confond pas les uns les autres. On passe des versions félines aux versions humaines des personnages sans sourciller, tant le travail du mangaka est de qualité. Le trait est relativement fin, précis et assez travaillé, surtout au niveau des pelages des chats. Les scènes d’action sont faciles à suivre et à comprendre, grâce à des lignes de mouvements judicieusement placées, ainsi qu’à un bon découpage des cases. On retrouve Ryûsei avec les trois intrus sur la jaquette, sous les deux versions. Une page couleur ouvre ce tome et, à la fin, on découvre les premières ébauches de Sango, la boss des Goblin Cat Tails.

De la génération Club Dorothee, élevée avec Saint Seya, Cobra et City Hunter, Saya, qui a un gros faible pour les shojo et les josei, adore faire de nouvelles découvertes. Le manga est une passion qu'elle n'hésite pas à transmettre aux générations futures.

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