Connect with us

Critique

Notre critique du tome 8 de Murciélago

Published

on

Dessinateur : YOSHIMURAKANA
Scénariste : YOSHIMURAKANA
Éditeur : Ototo Manga
Collection : Seinen
Genre : Comédie, Action
Public : + 14 ans 
Contenu : 208 pages
Sortie : 25 septembre 2020
Prix : 7,99€
Statut de la série : En cours de publication

Acheter Site Officiel

Résumé

Kuroko et son équipe poursuivent l’enquête sur les « Cisailleurs de cerisiers ». La police a trouvé la cachette de ce groupuscule terroriste, juste en-dessous du commissariat, dans une gare désaffectée. Kuroko, accompagnée de Ran, Hinako et de Shizuka, s’engage dans les tunnels désaffectés, pendant que la police tend un piège dans le commissariat.

Notre critique

Kuroko a formé sa propre équipe afin de sauver la ville de l’attaque au gaz mortel projetée par Tôkichiro Higaki, chef des « Cisailleurs de cerisiers ». Cette équipe est composée d’Hinako, sa comparse, mais également de Ran, une championne de combat de rue, et de la jeune Shizuka, la fille du collectionneur de peaux de visages. En soutient, elle peut également compter sur Reiko, tueuse à gage, et son acolyte, à la mémoire qui flanche un peu. S’ensuit alors de la bagarre, et surtout, on découvre au fil des pages, que cette histoire aurait peut-être un lien avec le passé de la collègue de Kuroko, la naïve Hinako.

Dans ce tome, on passe de révélations en combats, de confidences en actes violents, avec Ran qui est presque indestructible, la jeune Shizuka très douée pour les couteaux, Hinako, en conductrice hors-pair, Reiko la tueuse très précise, et bien sûr Kuroko, qui n’a pas son pareil pour mettre le doigt où ça fait mal avec toute son exubérance. La trame de cette enquête est très bien ficelée, avec des rebondissements, de l’action, un très léger brin de nostalgie, et de l’innocence … improbable ! Car voir la jeune Shizuka, couteaux en mains, dans ses habits de petite fille, s’opposer à Aiko, dans une magnifique danse de la mort, crée en nous une sensation. Et puis, le sourire d’Hinako, qui ne quitte jamais son visage et lui donne cet air naïf, a une saveur différente que dans les premiers tomes.

Le dessin reste assez sombre, en adéquation avec l’ambiance du volume, mais également parce que la majeure partie de l’histoire se déroule dans des tunnels. Une petite histoire bonus avec Reiko en héroïne clôture ce tome, qui commence par une page couleur de la terrible musculature de Ran. Cette dernière est mise en avant sur la jaquette, avec Kuroko et Hinato en SD.

De la génération Club Dorothee, élevée avec Saint Seya, Cobra et City Hunter, Saya, qui a un gros faible pour les shojo et les josei, adore faire de nouvelles découvertes. Le manga est une passion qu'elle n'hésite pas à transmettre aux générations futures.

Continue Reading
Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

WC Captcha ÷ six = one