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Critique

Notre critique du tome 8 de Otaku Otaku

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Dessinateur : Fujita
Scénariste : Fujita
Éditeur : Kana
Collection : Big Kana
Genre : Comédie, Romance
Public : + 14 ans
Contenu : 136 pages
Sortie : 4 septembre 2020
Prix : 7,45€
Statut : En cours de publication

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Résumé

“Kabakura cherche comment annoncer son mariage à ses collègues, Narumi tente d’attirer l’attention de Hirotaka, et Naoya et Kô sortent ensemble au cinéma…”

Notre critique

Un nouveau tome d’Otaku Otaku signifie toujours un nouveau super moment de lecture, et cette fois, ce sont les petits Kô et Naoya qui sont mis à l’honneur ! Tandis qu’ils se rapprochent et que Kô se sent de plus en plus à l’aise aux côtés de Nao, la question de l’évolution de leur relation se pose. Pour leur entourage, il est clair qu’ils semblent intéressés l’un par l’autre et qu’ils formeraient un joli couple, mais pour les deux concernés, tous deux très « innocents », les choses sont moins évidentes. Aiguillés par leurs proches, ils commencent toutefois à se poser des questions sur la véritable nature de leurs sentiments… !

C’est donc un volume qui devrait ravir celles et ceux qui attendaient de voir le « petit dernier » des trois couples du manga évoluer. Individuellement, Nao et Kô semblent également avoir un peu grandi depuis leur première apparition dans l’histoire. Le changement est plus flagrant pour Kô, qui parvient désormais à s’ouvrir un peu plus aux autres, mais il est également visible chez Naoya, et les voir mûrir et s’épanouir tous les deux est très touchant.

Bien sûr, comme à chaque tome, aucun personnage n’est totalement délaissé et nous avons droit à de nombreuses scènes toujours aussi drôles mettant en avant divers aspects de la vie d’otaku. Les fans de mangas, jeux vidéo ou autre se reconnaîtront bien dans certaines scènes, comme le dilemme qu’a Kabakura au moment de choisir entre sortir avec ses kôhai du bureau ou aller acheter l’édition limitée de son light novel ! Que ce soit dans les situations décrites ou dans la manière de les mettre en scène – comme, dans ce même exemple, par des représentations d’ange et démon au design très « manga » – tout est fait pour plaire à un lectorat jeune adulte qui, comme les personnages de l’histoire, compile les aléas de la vie d’adulte et la passion pour la culture otaku.

Fan de mangas en tout genre avec un goût prononcé pour tout ce qui sort de l'ordinaire et un faible pour les histoires fantastiques.

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