Les éditions Shûeisha ont annoncé que la fin de The Promised Neverland est imminente.
Au début du mois d’août dernier, le Weekly Shônen Jump indiquait que l’acte final de The Promised Neverland venait de débuter, et aujourd’hui nous apprenons que l’ultime chapitre est sur le point d’être dévoilé ! Ce manga réalisé par Kaiu Shirai et Posuka Demizu est prépublié depuis le 1er août 2016 dans le Weekly Shônen Jump, pour le moment 18 tomes sont disponibles au Japon, et la sortie du tome 13 est prévue le 27 mai 2020 chez Kazé Manga.
Une bien mauvaise nouvelle pour les éditions Shûeisha, d’autant plus que le 11 mai 2020 sortira le dernier chapitre de Demon Slayer, ce qui signifie que leur magazine de prépublication s’apprête à perdre deux séries emblématiques.
Résumé
« Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et sœurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort ! »
-
-
Le tome 15 de The Promised Neverland
-
-
Le tome 16 de The Promised Neverland
-
-
Le tome 17 de The Promised Neverland
-
-
Le tome 18 de The Promised Neverland
© Kazé Manga | The Promised Neverland | Kaiu Shirai | Posuka Demizu | Weekly Shônen Jump | Shûeisha
Source : Anime News Network
@dtc
11 mai 2020 at 8 h 59
Je trouve cela triste, mais j’apprécie qu’aujourd’hui les auteurs savent arrêter leurs histoires quand il le faut. Perso la trop longue longévité des séries des années 2000 m’ont décourager (One Piece, Naruto, Gintama…), et une histoire certe plus courte, plus intense et sans ralongie inutile, c’est beaucoup plus appréciable.
CarlZ
15 mai 2020 at 7 h 47
Moi je me contente de lire les tomes qui sortent chez Kazé Manga, et donc je ne suis pas aussi avancé dans l’histoire que ceux qui lisent les scans, mais si le récit maintient un tel degré de qualité jusqu’au bout, on a là une oeuvre qui est bien partie pour devenir culture, et donc moi aussi je suis content qu’ils ne tirent pas sur la corde car cela aurait forcément eu un impact négatif sur la qualité.