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Critique

Notre critique de Contes Imaginaires – Raiponce et les Cinq Princes

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Dessinateur : Tomoko Hako
Scénariste : Tomoko Hako
Éditeur : Nobi Nobi !
Collection : Shojo Kids
Genre : Conte, Fantastique
Public : + 8 ans
Contenu : 192 pages
Sortie : 20 novembre 2019
Prix : 7,90€
Statut de la série : Terminée en 3 volumes

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Résumé

Nous sommes dans un monde où règne la magie. C’est ici, parmi tous ces royaumes, que sévit la Sorcière Noire : pour une raison connue d’elle seule, elle a jeté une malédiction sur plusieurs princes de ces royaumes. Comment lèveront-ils ces malédictions ?

Notre critique

Deuxième tome des Contes Imaginaires pour HakoTomoko, avec cette fois-ci l’aide bien précieuse des frères Grimm ! On retrouve de grands classiques comme le Prince Grenouille, La belle au Bois dormant, Blanche-Neige, Peau-de-Mille-Bêtes et Raiponce ; et un moins connu, Les ducats tombés du ciel. Ici, on suit une malédiction lancée par une Sorcière Noire sur des princes…

Dans le Prince Grenouille, une jeune princesse refuse de se marier car elle aime déjà un jeune homme ; la Belle au Bois dormant ne veut pas se réveiller ; Blanche-Neige se retrouve avec sept enfants ; avec la Peau-de-Mille-Bêtes, une fille tente d’échapper à ses épousailles avec son père ; Raiponce est retenue prisonnière dans une tour et dans les Ducats tombés du ciel, une jeune fille pauvre donne tout ce qu’elle a pour permettre à un prince de se remettre de ses blessures. Et en filigrane, apparait la Sorcière Noire, qui effraye les enfants. C’est elle qui est le fil conducteur entre tous ces contes. C’est son histoire que l’on suit.

Les contes de notre enfance sont présents dans ce volume, et l’auteure nous les présente à sa façon, avec ses propres versions. Cela rend bien, même si près de 200 pages pour autant de contes donne une impression de « trop court ». Certaines histoires mériteraient quelques pages supplémentaires, on a parfois la sensation que le scénario s’accélère pour permettre de terminer le conte. Mais on retrouve quand même dans cette version des contes de notre enfance les morales s’y rattachant, mais aussi toute leur cruauté : dans la Peau-de-Mille-Bête, qui sera à l’origine de Peau d’Âne, une princesse doit épouser son père ! Et oui, les contes qu’on nous lisait étant petit sont loin de l’univers Disney où tout est beau et tout finit bien !

Le trait est très fin, précis et la magaka n’est pas avare de détails, ce qui surcharge un peu le dessin. Les personnages ressemblent réellement à ce qu’on imaginerait pour des héros de contes. Seul bémol, parfois, le trait perd de sa régularité et les visages semblent perdre en expressivité… Mais la magie est aussi bien dans le texte que dans le dessin. Sur la jaquette, on a Raiponce, mais aussi 3 autres contes : Peau-de-Mille-Bêtes, Le Prince Grenouille et La belle au Bois Dormant. Au dos, Blanche-Neige et les sept enfants dont elle s’occupe.

De la génération Club Dorothee, élevée avec Saint Seya, Cobra et City Hunter, Saya, qui a un gros faible pour les shojo et les josei, adore faire de nouvelles découvertes. Le manga est une passion qu'elle n'hésite pas à transmettre aux générations futures.

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