Notre critique du tome 1 de Iruma à l’École des Démons Saya 15 octobre 2020 Critique, Critique Manga, Manga Dessinateur : Nishi Osamu Scénariste : Nishi Osamu Éditeur : Nobi Nobi! Collection : Shonen Kids Genre : Comédie, Fantastique Public : + 8 ans Contenu : 192 pages Sortie : 16 septembre 2020 Prix : 7,20€ Statut de la série : En cours de publication Acheter Site Officiel Résumé Iruma est devenu le petit-fils d’un démon assez farfelu. Ce dernier, complètement fou du garçon, veut qu’il soit éduqué comme les autres démons. Le voici donc inscrit à Babyls, l’école des démons. Face à tous ces êtres étranges et effrayants qui peuplent les enfers, Iruma n’a que sa gentillesse et son bon cœur pour l’aider. Mais est-ce que ce sera suffisant face aux démons qui rêvent de dévorer des humains ? Notre critique Iruma n’a pas eu de chance : depuis tout petit, ses parents ne font pas très attention à lui, menant leur vie de leur côté. C’est ainsi qu’il a grandi, sans vraiment de soutient de la part de ces derniers. Et les voilà maintenant, qu’ils vendent leur fils à un démon ! Le pauvre Iruma est emmené dans les enfers. Le démon est un vieil homme farfelu et fantasque qui ne rêve que d’une chose : avoir un petit-fils ! Grâce aux parents inconséquents d’Iruma, c’est chose faite ! Et le voici qui gâte le jeune humain qu’il a installé chez lui. Et comme si cela ne suffisait pas, il a inscrit ce petit-fils dans une école pour démons, Babils. Voici Iruma entouré de démons tous plus effrayants les uns que les autres. Et cerise sur le gâteau : le directeur de l’école n’est autre que son nouveau grand-père. Iruma n’est pas encore au bout de ses surprises car ce dernier est tellement fier de son petit-fils qu’il n’hésite pas à le mettre en avant devant toute l’école, ce qui ne plait pas à tous, Iruma en premier. Ce shonen s’adresse au plus jeune, et pourtant, il est loin des classiques du genre nekketsu que l’on peut trouver à cet âge. Ici, le héros ne doit pas devenir plus fort pour sauver un être cher, il doit juste survivre dans ce monde démoniaque. Et ce n’est pas gagné car Iruma est un garçon qui respire la gentillesse, mais aussi la couardise. Il est toujours prêt à aider les autres, il ne juge personne et n’use pas de violence, mais il a aussi un instinct de survie fort développé, qui lui permet de rester vivant malgré la situation. Dès le premier jour, il passe pour le chouchou du directeur. Défié en duel par Az, issu d’une puissante famille de démons, Iruma le réduit en servant par maladresse. Mais il ne traite pas Az en servant, mais en ami. Pareil pour Clara, un succube excentrique, que tout le monde exploite. Cette série véhicule donc une des grandes idées du shonen : l’amitié. De plus, Iruma a quand même un don surhumain : la capacité d’esquive instantanée, qui lui permet d’éviter le danger. On a ici un scénario dynamique, rythmé, qui allie humour et émotion, le tout dans une ambiance halloweenesque. Le trait est rond, énergique. Il n’y a pas trop de décors, mais assez pour créer une ambiance qui plaira à tous, ni trop effrayante, ni trop rassurante. Les démons, familiers et autres habitantes des enfers ont des caractéristiques qui leur sont propres, dans des styles variés. A la fin, on trouve des gags en 4 cases et un plan de l’atelier du mangaka. Sur la jaquette, Iruma est assis sur un trône, entouré de démons. Notre critique du tome 1 de Iruma à l'École des DémonsEn résumé, si vous hésitez à commencer une série, celle-ci est à découvrir ! Mêlant humour, émotion et démons, ce premier tome plaira à tous petit et grand. Plongez dans l’univers pas si démoniaque d’Iruma et de son papy-gâteau ! Scénario95%Dessin90%Édition90%Originalité90%Mise en scène90%Intérêt sur la durée95%On a aiméLes Personnages attachantsL’univers fantastique et l’humourLa parution rapide des 10 premiers tomesOn a moins aiméNéant2020-10-1590%Note Finale Laisser un commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée.CommentaireNom Email Site Web Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail.