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Critique

Notre critique du tome 1 de Rascal Does Not Dream of Bunny Girl Senpai

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Dessinateur : Nanamiya Tsugumi
Scénariste : Kamoshida Hajime
Éditeur : Ototo Manga
Collection : Seinen
Genre : Tranche-de-vie, Comédie
Public : + 12 ans 
Contenu : 162 pages
Sortie : 6 mars 2020
Prix : 6,99€
Statut de la série : Terminée en 2 volumes

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Résumé

Sakuta est un lycéen ayant un certain passé, et qui a changé de lycée récemment. A la bibliothèque, il rencontre une jeune fille vêtue d’une tenue de bunny girl sexy… qu’il est le seul à voir. Cette jeune fille, il la connaît : c’est Mai Sakurajima, une actrice, qui est inscrite dans son lycée. A force de discuter avec elle, il va comprendre qu’elle a un sérieux problème.

Notre avis

Sakuta Azusagawa est un lycéen ordinaire, dans un lycée ordinaire, ayant peu d’amis. Une rumeur étrange circule à son sujet : il aurait envoyé des camarades de classe à l’hôpital, suite à une bagarre. Raison pour laquelle il a dû changer de lycée. Un jour, à la bibliothèque, il est le témoin d’un phénomène incroyable : il aperçoit une jeune fille en tenue de bunny girl, qu’il est le seul à voir. Pour les autres, elle ne semble pas exister. Le lendemain, il retrouve la jeune fille, en tenue de lycéenne, et là, tous peuvent la voir. Cette dernière s’appelle Mai Sakurajima et est une célébrité : elle est une actrice reconnue, qui fait actuellement une pause dans sa carrière. Elle est plus âgée que Sakuta et elle aussi est l’objet de rumeur : elle aurait coucher avec des hommes influents pour réussir. Mais ce qui commence vraiment à troubler la vie de cette dernière, c’est qu’elle devient invisible de plus en plus souvent aux yeux des autres. Résultat, même faire ses courses lui devient impossible. Pour Sakuta, il s’agit du syndrome de la puberté. Il sait de quoi il parle, car lui et sa sœur, en ont déjà été victime…

Sous un titre un peu long et un visuel des plus aguicheurs, se cache un titre beaucoup plus complexe qu’il n’y parait. Ici, on aborde plusieurs thèmes, dont celui des rumeurs sur le net et le harcèlement, le tout avec une pointe de fantastique. Le syndrome de la puberté semble être à l’origine de l’invisibilité de Mai, mais aussi des marques sur le corps de la sœur de Sakuta, Kaede, qui ne sort plus de chez elle. Et bien sûr, ce syndrome a un impact sur leur vie au quotidien : Mai ne peut plus faire de courses, car on ne la voit et on ne l’entend pas, quand elle est invisible. Parfois pourtant, cela l’arrange d’être invisibles aux yeux des autres, surtout ceux qui la critique sans prendre la peine de vérifier si elle est dans les parages. Peu à peu, les deux protagonistes ouvrent leur cœur l’un à l’autre. Serait-ce le point de départ d’une romance entre les deux adolescents, sur fond de mystère?

Le trait de la mangaka est fin et très expressif, où les émotions s’affichent sans complexe sur le visage des personnages. Les héroïnes sont très sexy, aussi bien dans leurs tenues et poses, que dans le jeu de leurs chevelure sur leurs visages. Il y a peu de décors, mais ce titre n’en demande pas. Sur la jaquette, Mai, en rue et oreilles de bunny sur la tête,  nous regarde par dessus son épaule.

Trailer

Série courte en deux volumes, ce manga est en fait l’adaptation d’un light novel. En 2018, une série animée a vu le jour, comptant 13 épisodes et un film est sorti en 2019.

De la génération Club Dorothee, élevée avec Saint Seya, Cobra et City Hunter, Saya, qui a un gros faible pour les shojo et les josei, adore faire de nouvelles découvertes. Le manga est une passion qu'elle n'hésite pas à transmettre aux générations futures.

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