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Critique

Notre critique du tome 5 de La Petite Faiseuse de Livres

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Dessinateur : Suzuka
Scénariste : Kazuki Miya
Éditeur : Ototo Manga
Collection : Shonen
Genre : Romance, Heroic-fantasy
Public : + 12 ans
Contenu : 192 pages
Sortie : 29 janvier 2021
Prix : 6,99€
Statut de la série : Terminée en 7 volumes

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Résumé

Maïn a encore subit une attaque de la dévorante. Elle a été soignée grâce à Frida et son grand-père le maître de la Guilde des marchands. Mais sa rémission est temporaire car d’ici une année, Maïn sera emportée par la maladie. La petite fille n’a que deux options : soit devenir l’esclave d’un noble qui lui fournira les objets magiques dont elle a besoin pour survivre, soit rester auprès de sa sœur et de ses parents, et mourir.

Notre critique

Maïn a fait une rechute de sa maladie. Transportée chez Frida, la petite-fille du maître de la Guilde des marchands, elle ne doit la vie qu’à un objet magique, que ce dernier lui a vendu. Mais le répit de la jeune fille est de courte durée, car d’ici un an, elle mourra si elle n’a pas d’autres objets magiques. Comme ces artefacts sont rares, seuls les nobles en ont et il les garde précieusement. Le seul moyen pour Maïn d’en obtenir est de devenir l’esclave d’un noble. Sinon, c’est la mort qui l’attend. La petite fille n’a pas d’autre choix que d’avoir une conversation avec ses parents, car ses jours sont maintenant comptés. Mais Maïn ne se laisse pas abattre et continue de travailler d’arrache-pied sur ses projets de papier et de livres. Elle n’hésite pas à mettre encore plus à contribution son ami Lutz, qui espère devenir marchand contre l’avis de ses parents. Comme l’hiver arrive, Maïn et sa famille prépare son baptême qui aura lieu au printemps, avec de jolis barrettes.

Dans ce tome, il est beaucoup question de la dévorante et de l’avenir de Maïn qui s’annonce assez sombre. Car entre mourir ou devenir une esclave, les choix sont très maigres. De plus, la jeune fille ne manque pas de se faire remarquer avec ses « inventions », comme le quatre-quarts qu’elle confectionne avec son amie Frida. Mais surtout, Maïn prend conscience que Tuuli et ses parents sont une famille pour elle et elle veut être à leurs côtés, malgré les richesses et la douceur de vivre qu’elle trouve chez le maître de la Guilde des marchands. Enfin, elle commence à vivre comme si ses jours étaient comptés. Cela donne une ambiance particulière à ce tome. Le mot qui résume le plus ce tome est « famille », que ce soit pour Maïn, Lutz et ses projets de devenir marchand ou encore Frida, dont le grand-père ferait n’importe quoi pour elle.

Cette histoire approche de sa fin. Notre héroïne, décédée sous une montagne de livres et réincarnée dans le corps de la fragile Maïn, va devoir faire un choix. Le dessin est toujours aussi bien proportionné, régulier et réalisé avec des traits fins. A la fin du tome, on retrouve quelques pages sur Frida, qui voulait tant revoir Maïn à la fin de l’hiver. Sur la jaquette, Maïn avec toute sa famille : ses parents et la charmante Tuuli, entouré de quatre-quarts et de fleurs réalisées à la main.

Notre critique du tome 5 de La Petite Faiseuse de Livres
Conclusion

Dans cet avant dernier tome, notre héroïne va se confronter à la réalité de sa condition et au destin qui l’attend. On la découvre entourée et choyée par sa famille et ses amis, mais également déterminée à atteindre ses objectifs. Maïn est une jeune héroïne qu’on adore !

Scénario
90
Dessin
90
Édition
90
Originalité
90
Mise en scène
90
Intérêt sur la durée
95
On a aimé :
L’originalité du scénario
La qualité du dessin
L’histoire s’assombrit
On a moins aimé :
Déjà la fin ?!
90

De la génération Club Dorothee, élevée avec Saint Seya, Cobra et City Hunter, Saya, qui a un gros faible pour les shojo et les josei, adore faire de nouvelles découvertes. Le manga est une passion qu'elle n'hésite pas à transmettre aux générations futures.

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